vendredi 30 octobre 2009
vendredi 9 octobre 2009
vendredi 10 avril 2009
Une Lady de trottoir, une Lady qui se prends pour une marquise, marquise de la bêtise...
Une Lady d'un soir, pas vraiment une, juste une pâle copie.
Une Lady qui cours après ... mais quoi elle ne sait pas, elle marche droit, droit vers devant, un pas, un autre, une rue, une voiture, des poubelles. Un saut, un tour, une chute, des marches, elle s'arrete, regarde et cherche.
Ne trouvera jamais . . .
BACK TO THE TREES
et ça pue l'printemps...
une tête de mort chacun...
Un ami ça vous oublie pas hein? pour personne? jamais? dites, dites, dites, dites, dites, dites ...
lundi 30 mars 2009
Un jour de plus, un jour de moins, cela se vérifie toujours.
Une gorgée, une chaleur qui coule lentement, trachée qui frissonne, comme un courant de vie dans ta poitrine, tu ne te pose pas de question, tu te contente de renouveller l'expérience. Une autre, puis une autre, à chaque gorgée supplémentaire ton coeur s'enhardit, tu souris d'abord, puis tu ris, tu te sens bien, peut etre même mieux, tu ne sais trop... Et puis au milieu de tout ça elle est là, son visage devant tes yeux aux pupilles dilatées, pourtant tu sais qu'elle n'est pas là, tu voudrais, tu voudrais tellement, mais tu la sait loin d'ici. Tu fermes les yeux, secoues la tete, t'ébroues comme un animal qui chasserais quelque parasite volant, comme tu la voudrais loin de ta tete à défaut de près de toi, tu presses tes paupières de tes mains, te tournes vers les autres faces souriantes autour de toi, prends quelques parts à l'agitation ambiante. Mais dès lors que tu baisses ta garde elle revient, à l'occasion d'un éclat de voix, d'une couleur, d'un contact quelconque, elle est partout et tu cherches à la toucher du doigt, mais lorsque ton index croit effleurer sa peau, mirage, tu es seul, seul au centre de la foule, peu importe qui ils sont, tu sais ce que tu désires à tes côtés, tu as beau le savoir ça ne le fera pas apparaitre... Alors tu reprends ton ballet liquide, tu laisses ton regard se vider et couler vers le vide.
Ces rêves, ses réveils en douceurs, ces sueurs froides sur peau brulante, ces questions sans réponses, ces cheveux qui collent au visage, ses frissons de fièvre, toujours cette volonté de comprendre pourquoi, il n'y a pas de raison, cela n'a aucun sens, cela n'a aucun sens, cela n'a aucun sens ...
Je me perds, loin d'eux.
vendredi 20 mars 2009
Un jour d'aout, Paris, Boulevard Saint Michel et ses petites rues.
Un fille, ses écouteurs, un regard distrait, pour le ciel, les gens et les murs.
Un grondement, qu'elle n'entends pas, un craquement, des gouttes.
L'orage éclate.
Plein été.
Le monde court autour d'elle, pas de parapluie, une errance sous la pluie.
Un recoin, abrité, en un pas, elle y est, moins a l'abri que sous une goutière.
Elle baisse les yeux, accroupie, attends, les ferme, attends encore, n'attends rien.
Plus aucune goutte ne tombe sur sa tête, elle ouvre les yeux, Lui.
Elle se relève, Lui, ce parapluie, son sourire, ses boucles brunes, ses yeux.
Ils rient, ses yeux, bleus et profonds, aucun mot, le silence, le silence et la pluie.
Une éternité, deux regards, pas un mouvement, rien, rien que la pluie et eux.
Un éclair, deux yeux bleus s'illuminent, un sourire blanc, un éclair.
Deux lèvres.
Une seconde.
Des heures.
Un frisson.
Elle abandonne.
Il la regarde, se tait, pense, et se ravise.
"C'est dommage, tu as des yeux magnifiques, ne les ferme plus jamais."
Un dernier sourire, une saveur sucrée sur ses lèvres, elle le regarde.
Un dernier signe, elle ferme les yeux, il n'est plus là.
La pluie a cessé.
C'est loin tout ça.
Et ce goût sucré est toujours là.
Paris est magnifique.
Je n'ai jamais su ton nom.
Parce que je l'aime, Elle.
You'll take care of her, i'll know it, you will do a better job...
Maybe, but not what she deserves...
'Cause there is one point my powers aren't strong enought to save her from pain, I'm countin' on you Mr. Whatever, keep her safe from cryin', keep her heart saner than mine,
Please.
vendredi 6 mars 2009
ça faisait lontemps =)
Avoir des projets plein la tête, traverser 3 villes a pied, faire les poubelles, rire a s'en déboiter la machoire, suivre la personne derrière soi, danser au milieu de la rue, respirer, voir pousser les béquilles dans les champs, admirer les tours à croquer, marcher sur des choux, rire encore, retouver son chemin, chaussures ou p'tite vieille qui couine? traverser, ou pas, l'hopital/parking/centre pharmaceutique, la vérité sur les hôtels de ville, j'aime pas les aurélie, L'raaa<3, et rire a nouveau
Et se retrouver a chanter au milieu de la route, sans s'en rendre compte, et croiser ce type, et chanter en coeur
I don't think that we're bad
I don't think we're bad at all
It just takes some time alone
(drôle de type quand même...)
This is easy as lovers go,
so don't complicate it by hesitating.
so don't complicate it by hesitating.
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